Hommage à Germaine Richier, première sculptrice exposée au Musée national d’art moderne en 1956, cette rétrospective rassemble près de 200 œuvres – sculptures, gravures, dessins.
Une conférencière du lieu nous guidera sur le parcours de l’exposition.
Dimanche 12 mars
Un conférencier du lieu nous fait découvrir l’œuvre de de Germaine RICHIER.
Organisation
Les rendez-vous sont soit à 10h20 au RER Nanterre Ville ou sur place sur le parvis devant la tente des groupe à 11h20.
Informations pratiques:
Place Georges-Pompidou
75004 Paris
Métro :
Rambuteau
Hôtel de Ville
Châtelet
RER :
Châtelet Les Halles
Les mineurs doivent être accompagnés d’un responsable majeur.
(Les frais de transports sont à la charge du participant)
info : La plateforme HelloAsso est gratuite pour l’association. Au cours de vos inscriptions, la contribution pour leur fonctionnement n’est pas obligatoire, il suffit de la modifier.
Présentation
La rétrospective Germaine Richier rend hommage à celle qui fut la première artiste femme exposée de son vivant au Musée national d’art moderne en 1956. De ses portraits des années 1930 à ses expérimentations colorées des dernières années, cette exposition restitue l’originalité de sa création et sa place majeure dans l’art du XXe siècle. Elle souligne comment, tout en prolongeant la tradition de la statuaire en bronze, Germaine Richier invente après-guerre de nouvelles images de l’homme et de la femme, jouant des hybridations avec les formes de la nature. De manière inédite, l’exposition réunit également un ensemble d’objets de l’atelier, comme les sources de sa sculpture.
Réunissant près de 200 œuvres (sculptures, gravures, dessins et peintures), l’exposition offre une relecture de la création de Germaine Fichier et souligne ses résonances contemporaines, à l’heure d’une prise de conscience globale du vivant. Au cœur de son œuvre, se dresse la figure humaine, les visages et les corps dans leur vérité, tant singulière qu’universelle. Portraitiste renommée, elle sculpte tout au long de sa carrière une cinquantaine de bustes, attachée à saisir la présence et le caractère propre de ses modèles. « Plus je vais plus je suis certaine que seul l’Humain compte », écrira t-elle.
Source officiel du spectacle
